Fransk

Fransk opgave

15. marts 2004 af Mandie (Slettet)
Traduction
Quand la narratrice est sortie de l’avion à l’aeroport à Bangkok elle était surprise par la chaleur humide. Il n’y avait personne pour la recevoir; c’est pourquoi elle a pris un taxi à l’hôtel.
Maintenant elle est au bar. Elle boit de l’eau glacée en attendant un homme, qu’elle ne connait pas. Il va lui donner les papiers, qu’il faut pour entrer dans le camp de refugiés.

B. 1
Le cas de Marianne, la prostituée, est seulement un sur un grand nombre avec des jeunes filles qui avaient une mauvaise croissance, qui aboutit à une vie pareille. Marianne a probablement apprendu
d’accepter sa situation, mais c’est à regarder comme une réaction naturelle d’être furieuse contre la société qu’on laisse arriver tels cas.
Marianne décharge sa colère sur des gens innocents à la salle d’attente de l’hôpital, mais en effet elle essaye de les convaince de l’injustice et l’absurdité de la société, quand elle commente l’Aide sociale.
B. 4
”Il va rester dans ma vie, souvent à des milliers de kilomètres de moi, mais toujours si proche.” (L. 52-54). Même si la narratrice se trouve physiquement à Bangkok et son amour, Jean-Paul est à Bruxelles, ils ne sont jamais vraiment séparés. Car ils s’aiment, et parce que la narratrice a vu qu’elle ne veut, ne peut faire rien sans que Jean-Paul le sache et la supporte. Ça c’est de vrai amour.

C. 1
La narractrice dans l’histoire ”Bruxelles – Bangkok” est une jeune assistante sociale dans un hôpital Belgique. Le travaille de premier abord paraît très changeant; nous apprendons qu’il y a naturellement des cas physiques, par exemple le petit enfant avec un bras cassé, mais aussi il y a beaucoup de problèmes psychologiques. L’hôpital se trouve dans un quartier pauvre et probablement aussi socialement chargé. La prostituée Marianne et sa petite fille fréquentent souvent le service où travaille la narratrice, et parfois la fille est hospitalisée. Mais tout compté c’est la routine. “Mon travail es devenu un “gagne-pain” et le monde où je circule me paraît trop petit.” (L. 27-28).
La narratrice se sent enfermée dans ce monde de routine, un monde dans lequel c’est interdit de montrer ses sentiments.
En même temps elle a des motives très personnels pour ne plus y vouloir rester. ”Trois fantômes hantent ma vie à l’hôpital” (l. 17). Son père y est mort, son ancien ami, Philippe y travaille aussi et finallement Marianne, la prostituée, frequente toujours son service.
Tout ça forme la base de sa décision de partir. Le travail en Thaïlande lui semble tant plus intéressant et différent, et un voyage va lui donné une chance pour éloigner ”les fantômes” de l’hôpital.



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Svar #1
15. marts 2004 af Pierre (Slettet)

Traduction
Quand la narratrice est sortie de l’avion à l’aéroport de Bangkok elle a été surprise par la chaleur humide. Il n’y avait personne pour la recevoir, c’est pourquoi elle a pris un taxi pour l’hôtel.
Maintenant elle est au bar. Elle boit de l’eau glacée en attendant un homme, qu’elle ne connait pas. Il va lui donner les papiers, qu’il faut pour entrer dans le camp de refugiés.

B. 1
Le cas de Marianne, la prostituée, est seulement un sur un grand nombre de jeunes filles qui ont eu une mauvaise croissance et qui aboutissent à une vie pareille. Marianne a probablement appris à accepter sa situation, mais je pense qu'il faut considerer cela comme une réaction naturelle d’être furieuse contre la société quand on laisse arriver de telles choses.
Marianne se décharge de sa colère sur des gens innocents dans la salle d’attente de l’hôpital, mais en effet elle essaye de les convaince de l’injustice et de l’absurdité de la société, quand elle commente l’Aide sociale.
B. 4
”Il va rester dans ma vie, souvent à des milliers de kilomètres de moi, mais toujours si proche.” (L. 52-54). Même si la narratrice se trouve physiquement à Bangkok et son amour, Jean-Paul est à Bruxelles, ils ne sont jamais vraiment séparés car ils s’aiment, et parce que la narratrice a compris qu’elle ne veut et ne peut faire rien sans que Jean-Paul le sache et le supporte. Ça c’est le vrai amour.

C. 1
La narractrice dans l’histoire ”Bruxelles – Bangkok” est une jeune assistante sociale dans un hôpital belge. Le travail de premier abord paraît très changeant; nous apprenons qu’il y a naturellement des cas physiques, par exemple le petit enfant avec un bras cassé, mais aussi qu'il y a beaucoup de problèmes psychologiques. L’hôpital se trouve dans un quartier pauvre et probablement aussi socialement chargé. La prostituée Marianne et sa petite fille fréquentent souvent le service où travaille la narratrice, et parfois la fille est hospitalisée. Mais tout compte fait, c’est la routine. “Mon travail es devenu un “gagne-pain” et le monde où je circule me paraît trop petit.” (L. 27-28).
La narratrice se sent enfermée dans ce monde de routine, un monde dans lequel il est interdit de montrer ses sentiments.
En même temps elle a des motifs très personnels pour ne plus y vouloir rester. ”Trois fantômes hantent ma vie à l’hôpital” (l. 17). Son père y est mort, son ancien ami, Philippe y travaille aussi et finallement Marianne, la prostituée, frequente toujours son service.
Tout ça forme la base de sa décision de partir. Le travail en Thaïlande lui semble plus intéressant et différent, et un voyage va lui donné une chance de s' éloigner ”des fantômes” de l’hôpital.

Amitiés,
Pierre

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